« En lisant Le silence des Matriochkas, vous découvrirez le secret de famille d’une lignée de femmes. L’héroïne décrit son cheminement intérieur vers une issue hautement bénéfique. Puisse cet ouvrage aider d’autres personnes également influencées par leur histoire. Découvrir les faiblesses et les forces de notre généalogie, afin de vivre notre vie avec plus de conscience. »
Se sont avec ces mots parfaitement choisis que l’éditrice du roman d’Anne BASSI, résume « Le silence des Matriochkas »
Trois femmes d’une même lignée, trois destins… Et un secret.
Rebecca, Raïssa, Anouchka… Trois femmes d’une même lignée, trois destins… Et un secret.
Elles sont liées par ce qu’elles ont de plus intime, l’unité duelle mère-fille.
Inspiré de faits réels, ce roman vous transporte de 1885 à aujourd’hui, de Kiev à Paris en passant par Berlin.
En 2017, Anouchka, la petite fille, l’avocate, affronte le silence qui imposa son empreinte à chaque génération et reconstitue son histoire familiale à travers une enquête qu’elle mènera avec un généalogiste allemand. Elle découvrira un secret de famille enfoui depuis des décennies, une lignée mystérieuse et une transmission qui la dépasse.
Un roman plein d’émotion sur le monde de nos origines, la transmission du passé et de sa mémoire.
Le silence des Matriochkas, s’adresse à tous ceux qui cherchent les traces de leur histoire
Anne Bassi – auteure du roman
Présentation du silence des Matriochkas par Anne Bassi – auteure du roman
Ouvrons la fenêtre sur Anne Bassi et son roman paru aux éditions Bérangel
J’ai travaillé avec des généalogistes et j’ai toujours été fasciné par ce métier, ils sont comme des archéologues du passé.
Annie Bassi, auteure
Pour aller plus loin
Genea-Logiques vous recommande la lecture du livre : Vous n’aurez pas les enfants
Auteure : Valérie Portheret.
Préface : Serge Klarsfeld & Serge Cyrulnik
L’histoire inédite du plus grand sauvetage d’enfants juifs entrepris en France pendant la Seconde Guerre mondiale. Malgré les cris, les pleurs, les tentatives de suicide des mères, 108 enfants vont être séparés de leurs parents et exfiltrés du camp. de leur côté, 545 adultes sont conduits en autocar par les gendarmes à la gare de Saint-Priest, direction Drancy, puis Auschwitz où la grande majorité d’entre eux sera gazée.
Des membres d’oeuvres sociales présents dans l’enceinte réussissent à convaincre les parents d’abandonner leurs enfants et de les confier à une association, l’Amitié chrétienne, seule façon de les sauver de la déportation.